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Juillet 2016

Le bonheur appartient à ceux qui n’abandonnent pas. A ces rares optimistes qui se relèvent toujours quand tout s’éffondre. A ceux qui encaissent impassibles les coups de la vies et les transforment en puissance.
07/16

Je prend parfois un certain plaisir à m’oberserver souffrir. Jamais de mes souffrances physiques, mais de ces réelles souffrances qui naissent et meurent dans ma tête. Elle me plaîsent puisqu’elles me permettent de susciter chez moi l’impatience de leurs départs, rendant leurs absences si savoureuses. Je me construit de ces erreurs, de ces défaites. C’est pourquoi il m’arrive de les apprécier avant même qu’elles ne disparaissent. L’unique souffrance que je fuis de tout mon être et de laquelle je ne prend jamais de plaisir, c’est l’horreur de la profonde solitude. Je n’en ressors jamais plus fort, sa réalité brutale ne m’apporte rien d’autre qu’une infinie peur et incompréhension.
07/16

« Solitude »

Cette sensation dans l’intestin. Une constante pression qui éveil un mal-être général. Cette sensation de sollitude, ce vide. La perte de repères, la perte du sourire sincère et la perte de l’apétit. Ces heures passés dans mes pensées, et si peu dans mes rêves. Cette dépendance fictive de l’autre, qui refuse de s’en aller. Cette peur, cette horeur. L’impresion que je n’en sortirais jamais. La faiblesse, la culpabilité, la sensation de ne plus compter. 15/07/16

Published in 2016

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